Sur la voie solitaire,
Des lucioles happées par le soleil
Les ailes en cendre
Dont l’orbe rejoint
Les mouvements du ciel
L’angoisse me saisit de ses doigts froids
Espérant que j’oublie la signature de la promesse
Ces vieux parchemins d’âme pour ne pas chanceler
Ce n’est plus moi qui actionne les muscles de ma langue, qui le comprendra ?
Le souffleur a tissé une lanterne de verre autour de la danseuse.
Tout cela pour dire combien j’aime ce voyage.
Nantes, le 30/12/2020
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