Si la souffrance est une si grande part de la sève qui parcourt l’arbre de la vie, est-ce que les branches s’effeuilleront en bien ?...
Se demande-t-on sur les sentiers.
Les rêves-taillis ont-ils de la résine plein les doigts ?
Nous demande alors l’enfant-fougère, aux abois du fond des bois.
...Et mise à part cette petite réponse poétique,
Merci pour ton poème qui semble surgir des sols forestiers.
" mon arbre est-ce pour cette souffrance
que tu me réveilles "
Je me demande vraiment ce que serait la réponse de l'arbre.