Un cri inscrit dans la chair. Déjà, j'aime beaucoup le titre.
L'esprit déchiré par la prépondérance de la chair qui n'est que chair, où la parole s'exclut pour ne devenir qu'un cri.
Images religieuses, comme un sacrifice inhumain.
Les répétitions accentuent l'effet de la portée du cri, la nuit où tout est silence est déchirée, violée.