Le Forgemots
Textes => Poésies => Discussion démarrée par: bleuterre le 29 mai 2016, 19h26
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La nuit griffe la courbure
de ma tempe
sur l'oreiller aux sortilèges
Le bec d'un corbeau
cogne la vitre
de ma paupière
le temps s'ensable
dans les limons
d'un sillon neuronal
où l'absence
creuse les ornières
d'une féminité
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Wa ! Tu fais fort cette fois ci ! Continue encore plus fort ! Cogne cogne et cogne encore en bûcheronne que tu es devenue !
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J'aime assez cette écriture "pulsionnelle" et je rajouterais bien un adjectif à cette paupière.
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Ah, j'avais mis un adjectif à la paupière, puis je l'ai enlevé pour épurer ce texte, et le pire c'est que je ne me souviens plus lequel... tant pis, à chacun d'imaginer...
merci de ton passage par ici.
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Ho hé du Donjon, peux-tu distraire le Dragon que je frappe avec efficacité... ?
Nous façonnerons ensuite ensemble la clé...
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C'est beau, tout simplement.