Ils s’en vont.
Je les survole de mon vélo,
je pars en direction
de mon oboulaba,
je les rejoins je les rattrape
dans un futur proche,
ils s’en vont…
Rien à sauvegarder pour l’instant,
ils s’en vont, alors salut.
Ils s’en vont. J’en suis lunaire.
Ils ne savent pas que tout a changé.
On se retrouvera, promis,
sans présager ce qui va suivre
en cette partie de moi désormais
ouverte au cœur des gens
et je nous dis à plus tard…