Bienvenue à l’écrit sous toutes ses formes.
Ici s’entremêlent et se cisèlent des textes de votre composition.
Chacun peut lire, écrire, commenter et discuter à sa guise
dans le respect de la charte commune !
Fréquence de publication
Afin de maintenir une variété raisonnable sur la page d'accueil ainsi que d'offrir au lecteur la possibilité d'absorber les textes présentés chaque jour, nous vous conseillons d'éviter :
De publier plus d'un texte par jour sous la même rubrique.
De publier des textes de même genre sous des rubriques différentes.
Au plaisir de vous lire.
Une fois inscrit(e), pour publier un nouveau texte, choisissez une catégorie dans la rubrique "TEXTES" du menu, puis cliquez sur le bouton "nouveau sujet" à droite de l'écran suivant.
Si vous êtes membre, vous voudrez peut-être vous présenter et écrire ici quelques mots à propos de vous.
Ni remords ni regretsj'ai aimé des hommes ils m’ont désirée la croisée des chemins s'estompe dans l'oubli les caresses fantômes jouent les harmoniques du passé sur ma peau esseulée s'écoule le chant de la vie Toutes directions stellaires.... Toutes directions stellaires... Je me sentais hier Comme dans un monde à l’envers Oui j’ai été, pour être sincère Apeuré par les vents contraires Avant de dépasser l’atmosphère Toutes directions stellaires… Toutes directions stellaires… Le monde n’a pas été prévenu Que nos imaginations Sont libres et sont lumière Cette fois l’heure est venue Une poésie est en marche Libre comme l’air... Libre comme l’air... Libre comme lumière... Toutes directions stellaires… Toutes directions stellaires… Je me présente : Tom Astral, en sac à dos Et au coin du feu Je plante ici ma tente Et j’ouvre le hublot Des regards curieux Ce soir direction l’Univers Il parait que son expansion accélère C’est peut-être le désir de bien faire Toutes directions stellaires… Toutes directions stellaires… Il est déjà minuit passé Minuit passé et des poussières Le rêve endommagé A été réparé, opéré à cœur ouvert Ce soir pendant la veillée Destination l’Univers Ce soir pendant la veillée On passe un si bon moment sur Terre... Toutes directions stellaires… Toutes directions stellaires… Tom Astral Livres à paraître aux Éditions du Tendre-CosmosLivres à paraître aux Éditions du Tendre-Cosmos : La Lune est-elle un croissant au beurre ? La bataille qui dura 777 ans Quelques rêves au pays du rien... La papillote pas rigolote Parcours scolaire d'un enfant-robot Wagons vagabonds sur des vagues Des vagues dans des wagons vagabonds Terminus du Temps Big Bang nous revoilà La grande explication Il reste tant d’étoiles à lire . Au bonheur des pages. Livres à lire absolument ! La nuit est un livre ouvert. Les étoiles sont un livre en plein ciel. Chaque mystère de la Terre est un livre à creuser. Chaque merveille de l’Univers est un livre pour nous éclairer. L’imaginaire est un livre sans fin. . Les grandes parenthèsesIl y a un jour Je te réponds en poésie Il y a un jour Mes mains prennent les tiennes Il y a un jour Et toi filant Par un pan de la nuit… Il y a la nuit Et toi filant Il y a un jour Il y a un an Il y a un soir Il y a cent ans Aux alentours Autour de nous filant Passe le vent Il passe toujours Dans les cheveux des insouciants… Il y a un jour On se dérobe au fil du temps Il y a un jour Souriant, il y a Aux alentours… Il y a un jour Je te réponds en poésie Il y a un jour On se sent bien ensemble Il y a un soir D’étoiles sur l’océan Il y a l’envie Autour de ça filant Par un vent de la vie Il y a la vie Et nous deux filant Par un pan de la nuit Alors S’il y a un jour Et un instant Un jour à prendre Comme en vélo Comme un humain dans l’air… Il y a la vie Et nous deux filant Par un pan de la vie Il y a la nuit Celle de tous les temps Il y a la vie Autour de nous filant Il y a un jour, Il y a un soir, Depuis longtemps, Et nous retraversant Ce simple pan De la nuit… Terre exposant Lune. Terre exposant Lune ♪ La vie nous appartient L’envie nous prend soudain ♪ Terre exposant Lune ♪ Le vent éclaire le chemin Le vent nous le rend bien ♪ Terre exposant Lune ♪ La vie le vent s’en revient Et nous prend par la main ♪ Terre exposant Lune Lumière exposant brune Terre exposant Lune Terre... exposant... Lune... ... Lune... Lune... Lune... ... Lune... Lune... ... Lune... . Proses vibratoiresProses vibratoires [Ensemble de quinze textes courts] Il y a longtemps, j’ai écrit sur une page blanche : « Je suis une vibration... », en réponse au monde d’alors qui voulait faire les présentations. Ce soir encore, je me fais modulation du son et de la voix d’un univers qui me dépasse. ⁓ ≈ ⁓ Arabesques du temps et de l’espace : elles ressemblent aux serpents qui se serrent la pince au lieu de se mordre la queue. ⁓ ≈ ⁓ Cette nuit, la forêt a repoussé sur un tarmac. Aucun avion n’a pu décoller, à part les avions de papier. Aucun passager n’a quitté sa planche, à part en se tenant aux branches. ⁓ ≈ ⁓ Ton cœur et ton poème sont inséparables. Ils partagent la même respiration. ⁓ ≈ ⁓ Soudain mon corps oscille entre deux vents au bout du troisième chemin. ⁓ ≈ ⁓ La nature nous écoute en se chantant elle-même. ⁓ ≈ ⁓ Ce que dit la poussière à l’Enfant-étoile : Toi aussi, tu as remis un pied devant l’autre. Toi également, tu as rêvé sur l’eau. Toi tout autant, tu as mangé la Terre et son noyau. ⁓ ≈ ⁓ Chante le coucou sur la pendule du temps. Ami poème, le temps d’un mot, retiens ton souffle. ⁓ ≈ ⁓ Fontaine j’ai bu de ton eau, à ton tour de me boire. ⁓ ≈ ⁓ Les cerfs-volants sont des vertiges à portée de nos doigts. ⁓ ≈ ⁓ Une étreinte qui fit le temps. Une incontenable joie qui fit le big bang. ⁓ ≈ ⁓ De poussière d’étoiles à poussière d’étoiles : Nos cœurs sont en voyage. Nos cœurs sont en voyage et font de nous des êtres humains. ⁓ ≈ ⁓ Sur le terrain de cette nuit, qui es-tu toi poésie qui porte sur la balance cette lune à bout de bras ? ⁓ ≈ ⁓ Dans cette zone appelée Imagination ce n’est plus la terre qui tremble non, désormais c’est le mot qui vibre. ⁓ ≈ ⁓ En discutant avec un vent du soir, celui-ci me parle du Feu. Je lui dis que le Feu ressemble à un miracle. La Vie bien plus encore, me réplique-t-il, avant d’ajouter : Et je ne parle pas du fait que tu m’imagines parler avec toi. . Un tout uniCe que je cherche dans l'écriture Est-ce encore au fond Un tout uni cosmique Créé par les êtres ? Face à l'obscur Je réponds oui. là-bas un poètedes milliers d'yeux enveloppent le soir j'endors le chant de la rivière là-bas un poète endort des anges lui qui charme les fééries et envisage l'obscurité ma nuit sera blanche à mon grand désarroi mais les cieux me donneront leur splendeur feutrée cette planèteJe suis cette planète d'une galaxie disparue depuis longtemps fantôme devenu récit La prophétieLe sage énonça la prophétie sans savoir sans hésiter ce fut là son erreur et vinrent les temps sombres et les jours de troubles oui la prophétie disait vraie, en réalité non, elle n'était qu'auto-réalisatrice partiellement oubliée par la sagesse en personne. 2022C'était le goût de la terre Avec des notes de sel Un peu de vert dans ma chair De l'eau, du vin et du miel Des gémissements innommables Coupables Sous les enterrements De nos errements Et nous l'aurons bien mérité Mais quelle longue agonie que voilà Puisque toujours lumière il y aura Des sentiments pour rattraper l'effroi Des jeux pour oublier tout jusqu'à soi Des friandises sur le chemin Et des autoroutes Chante-moi des lendemains Plein de doutes Évolution temporelle d’urgence. Ça-et-là le vent léger effleure les doigts de l’espace. Cela fait maintenant quelques secondes que l’on s’est dit au revoir. Je pars sans me retourner, je me concentre, je me déconcentre, je lâche prise. Un flot presque flow se laisse aller sans frein. Un dernier mot sur la feuille. Fin de l’épisode. Encore une seconde, une seconde de plus... et voilà... Bientôt, mille ans auront comme filé en moi. Infinité furtive. Mille ans avant la prochaine fatigue. Mille ans d’ici le prochain rêve. Mille ans pour assimiler l’info de la dernière minute, de la dernière heure du dernier jour, du temps écoulé dans cette sphère de la vie... . InfinimentLes lys côtoient les chrysanthèmes. S'il y avait de la grandeur Dans la récolte qu'on essaime J'étais déjà une meilleure Version de moi-même. Le poids dans le ventre s'étale. Tu avais su sans le savoir Supporter un peu de mon mal Soupeser les charbons noirs De mes vieux dédales. Et puisque tout aura une fin Je n'attends finalement rien En discours seulement. Je me consumerai sans borne Vénérerai tout ce qui orne Tes enchevêtrements A la seconde où ton sourire Prendra la voie de mes soupirs Un bout de ciel Infiniment. Encore un peu de tempsIl restait tant à faire Il m’en restait à t’offrir Il en restait au ciel ouvert Qui commençait à s’assombrir Te prendre dans mes bras et te faire rire… Te prendre dans mes bras et te faire rire… Il en restait deux ou trois soirs Il en reste un souvenir Le moment était venu d’y croire Le moment était venu d’agir Te prendre dans mes bras Et te faire rire Te prendre dans mes bras Et te faire rire… Tom Astral . Actuellement, ici ou làCe n'est pas un phare que je désire mais la foudre Ce n'est plus la météorite qui tombe mais la pluie Ce n'est pas le chemin qui se tord mais la pensée Ce n'est plus le maelström que j'explore mais la dimension de poche . Zones multi-sentiersZones multi-sentiers ...à l’origine d’une forêt, . une envie de cabane... . . . (Les étoiles sont le chouchou . du grand tableau noir . qui attendait la fin du jour.) Chaque poème . est un plongeoir . pour un plongeon . de page en page . depuis la plage . des rêves… . 2 tranches de vies sur une même tartine . ça peut faire un bon goûter . ...les vaches regardent parfois les trains ...la mer et ses rouleaux brouter les voyageurs. font parfois les océans compresseurs. . Pourquoi Parfois, . ne pas rien de plus danse . s’en aller et danse qu’un poème . dans la forêt ... . pour nager . dans les . buissons ? . Ce matin, . un mot valise . se fait la malle ouverte . aux livres . Ce matin, une source tellement inattendue : . les feutres de couleurs . feront les océans vainqueurs . les lacs de rêves et les rivières fantômes . ... ...un vent qui se profile, un vent qui s’installe... éveillés poings ouverts une poignée de poèmes ...les feuilles mortes ou vivantes de sang humain n’aveuglent aucun courant d’air . Une pluie qui commence à tomber... . c’est dommage : le linge . n’a pas fini de sécher. . ... j’ai sans doute... rêvé... ... j’ai vu le feu manger le sable... ... et la rosée du matin déposée sur le magma . . ...main dans la main... ...et soudain... . un petit bout d’inachevé . heureusement que ton sourire est au complet ...Et voici déjà la fin d’un monde, déjà le jour d’après, et déjà à la bougie s’éclaire un renouveau . Seul un adulte peut se faire virer De cette forêt enchantée Seul un enfant pourra lui reproposer un job. ...au rêve des bois perdus une forêt qui se téléporte à l’intérieur d’elle-même J’ai vu l’enfant qui a écrit le poème du sage qui a créé les ailes qui font marcher. J’ai lu ce même poème qui m’a aidé à écrire un poème qui en est sorti de son papier. Sur l’arbre des possibles, ...au rêve des bois perdus... de branche en branche, l’écureuil de la providence De part et d’autre des Landes... De part et d’autre... Voyage dans le voyage Rêve dans le rêve Une voix me repose à nouveau cette question : à quel moment sommes-nous le plus loin de l’aube ? ...est-ce la fin de l’épisode ? un peu drôle un peu triste un peu enjoué d’un au revoir possible on dit qu’un retour peut en appeler un autre ...est-ce là le mot de la fin ? ça y est, c’est fini ça y est, on ne se reverra plus ça y est, on ne s’oubliera jamais il y a une part d’éternité dans nos saluts . Maintenant qu’à la croisée des clairières, je t’’ai fait mes adieux, je pleure à présent et ces arbres s’ils prennent un peu de ma peine se mettront un jour à pleurer toutes leurs feuilles et quand à nous nous serons loin si loin quels seront vos sourires, ô sentiers ? Une voix demande : Où suis-je moi qui suis poème du vent ? Et une autre voix lui répond : Bienvenue ô ma sœur, allons écrire de nos pas notre liberté ... . Souvenirs 1 Il y a longtemps, si longtemps, j'ai vu s'ouvrir en grand le chemin de la nuit et faire de mon souffle un brin d'air dans les mains du vent, je me souviens, à ce moment-là, de m'être senti protégé. 2 Il y a longtemps, j’ai vu écrire un mot d’émotion avec un corps écrié à la craie sur un grand tableau noir et j’ai entendu une voix nommer ce mot ‘étoile’. 3 Un soir, me semble-t-il plus ou moins,j’ai rencontré un chemin sans chemin et je l’ai emprunté sans faire le moindre pas. 4 Souvenirs... Souvenirs authentifiés, souvenirs faussésSouvenirs dégradés, souvenirs restaurés Souvenirs fatigués, souvenirs sifflotés Souvenirs sans leurs souliers, souvenirs sans sourciller Souvenirs sur les sentiers, souvenirs ciselés Souvenirs masqués, souvenirs déguisés Souvenirs sauvegardés, souvenirs pour s’éclairer Souvenirs en rade restitués... Souvenirs... allégés... . lights-of-a-summer-area019-0021.docC’est une bougie qui s’allume et se consume par le bas ; au fur et à mesure de la soirée, la flamme se fait de plus en plus vive, alors que la distance entre elle et la terre s’accroît ; elle monte, gagne en intensité, et lorsqu’il n’y a plus de cire, elle continue sa route vers le haut, en faisant crépiter ce fil, insolite liane pendue au brasier invisible de la voûte céleste. C’est un fil électrique reliant certains arbres d’une forêt de métal ; la lune éclaire la clairière encombrée de câbles et le réparateur a du retard ; rendez-vous reporté au 31. . À quel moment [coécrit avec Noir Arôme]Les ombres de la peine, Il me semble les voir Mais je sais qu’elles ne sont Que des illusions Que seule la joie nous guide. Les ombres de la joie, Il me semble les voir Mais je sais qu’elles ne sont Que des illusions Que seule la peine nous guide. La joie et la peine sont des ombres Nous sommes des ombres Reste à savoir À quel moment nous sommes lucioles À quel moment nous sommes lucides. Noir Arôme et Tom Astral Des loups et des hommes. Les loups sont des loups. Les hommes sont des hommes. Les loups sont toujours des loups. Les hommes ne sont pas toujours des hommes. Des loups et des hommes... Des hommes et des loups... Des monstres ont tué des loups. Des monstres ont tué des hommes. Les loups n’étaient pas de ces hommes qui sont devenus des monstres en croyant être au-dessus des loups et en croyant être des hommes. Des monstres ont tué des hommes. Des monstres ont tué des loups. Des monstres ont fait saigner la chair, ont fait saigner la terre et les mémoires. Des monstres ont été des hommes. Des hommes ont été pires que les loups. Des loups et des hommes... Des hommes et des loups... Il y a une part de monstre chez l’homme. Il y aurait une part d’homme chez le loup. Je ne dis pas que la sagesse de l’homme est d’avoir été un loup. Je dis à l’homme : ton devoir est d’être plus que le meilleur de l’homme, plus que le meilleur du loup. Des loups et des hommes... Des hommes et des loups... . Duos gagnantsavec un stylo noir, avec un stylo bleu les poèmes qu’on écrit à deux les poèmes qu’on écrit à deux qui dit duo dit double jeu les poèmes qu’on écrit à deux les poèmes qu’on écrit à deux à pas qui file, à petit feu les poèmes qu’on écrit à deux les poèmes qu’on écrit à deux faire fusionner les styles pour le mieux les poèmes qu’on écrit à deux les poèmes qu’on écrit à deux car écrire avec toi ça rend heureux et je le dis à l’Univers pour le rendre radieux : car écrire avec toi ça rend heureux les poèmes qu’on écrit à deux les poèmes qu’on écrit à deux... . La pliure du tempsarbre flamme desséché par la pliure du temps coulure des sentiments tarie la peau s'endort en absence le désir atone égaré le corps serein s’apaise au creux des sentes hivernales les fleurs de neige m’enveloppent Avis aux passagers, nous prenons de l’altitudeAvis aux passagers, nous prenons de l’altitude [Sept petits poèmes] Textes écrits entre 2008 et 2019 Je suis venu vous parler ce ces histoires en formes de fusées qui ont été contées hier à la face du ciel. ⁞ si tu te mets à courir sur la piste d’un tarmac sache que tu ne seras jamais avion toi, humain à moteur ⁞ Tout à coup, le ballon entre dans les cages, l’oiseau en ressort aussitôt, le terrain de jeu prend son envol, le match continue dans les nuages. ⁞ un lâcher de ballon un autre, un autre encore et tous s’en vont avec un bout de nous ensemble ⁞ Le pollen par le vent est porté, de même que la poussière, et pourtant la pensée est allée bien plus haut. ⁞ Une voix en nous... nous a dit : Je suis le genre d’oiseau qui se rend compte qu’il a des ailes quand il s’est cogné à la lune. ⁞ Une seconde bulle flotte et monte jusqu’au ciel face à la Lune, face à la Nuit, pour éclater dans l’invisible.
|